Impek propose des solutions et des Bio-traitements en matière de gestion de nuisibles.
Nous intervenons au service des particuliers et des professionnels.
Nous sommes spécialisés dans l’élimination des cafards et blattes, destruction nids de guêpes et frelons, mouches, pigeons, puces, punaises de lits, des rats et souris et des taupes.
Enfin, nous proposons et installons une large gamme de désinsectiseurs électriques.
Les pigeons peuvent rapidement détériorer leur environnement (immeubles d’habitations, clochers d’églises, hangar agricole, bâtiments industriels, monuments,..) à cause de leur déjections acides.
Pour lutter contre les pigeons, il convient dans un premier temps d’analyser l'environnement.
Le pigeon est principalement source d’atteinte à la santé publique (fientes ou individu potentiellement vecteur de maladies), à la sécurité publique (risque de chute par glissade sur une accumulation de fientes), à la tranquillité publique (bruits de battements d’ailes et/ou roucoulements) ou à la dégradation de l’esthétique urbain (souillures des bâtiments publics ou privés ou même des sols par leurs fientes ou les donations de leurs nourrisseurs). Or le Maire dispose du pouvoir de police administrative ayant pour objet l’ordre, la sécurité et la salubrité publique et peut, de ce fait, faire procéder à leur régulation en cas de surnombre. Les techniques de lutte contre la prolifération excessive des pigeons en ville vont de l’effarouchement à l’élimination en passant par la stérilisation des volatiles ou de leurs œufs. Sous réserve d’une étude de faisabilité circonstanciée, certaines communes choisissent de centraliser en un lieu clos, le nourrissage, les déjections, la nidification et la régulation du nombre d’individus d’une colonie. Mais l’ensemble de ces techniques s’avère insuffisamment efficace et très coûteuse financièrement et politiquement. En effet, les pigeons des villes disposent d’alliés avec les nourrisseurs et les associations de protection des animaux.
• protection des bâtiments destinée à diminuer le nombre de trous et de renfoncements dans les façades et toitures (pics, filets de protection, système d’électro-répulsion), rappel de l’interdiction de nourrissage (Arrêté Municipal Propreté, Règlement Sanitaire Départemental, Règlement intérieur des immeubles collectifs d’habitation : article L 1311-2 du code de la santé publique) et sanctionnable par une contravention.